Aux États-Unis, les jeunes sans-papiers sont appelés “Dreamers” (rêveurs). Carlos est l’un d’entre eux.

À l’âge de 9 ans, Carlos arrive du Mexique à Chicago avec ses trois frères et ses parents. Le jour de ses 18 ans, son avenir devient incertain. Selon la loi américaine, Carlos est désormais considéré comme sans-papiers. La moindre erreur peut conduire à l’expulsion. D’échecs en succès, DREAMERS raconte l’histoire de Carlos, aujourd’hui âgé de 38 ans, de ses frères et du destin de 2,5 millions de personnes qui grandissent dans un pays qui ne les reconnaît toujours pas comme siens.

 

L’officier de l’Armée du Salut Fredi aide les personnes en marge de la société en leur prodiguant conseils et assistance. Ses ouailles, des sans-abri et des marginaux, ne sont pas totalement convaincues par la promesse chrétienne du salut. Ils critiquent l’idée du bonheur dans l’au-delà avec humour et esprit critique. Caméra à l’épaule, le cinéaste Thomas Thümena plonge dans «Himmel über Zürich» dans différentes réalités de la vie dans le Zurich chic d’aujourd’hui et dresse un portrait socialement engagé de la grande ville – puissant en images, sans préjugés, avec des protagonistes forts et beaucoup d’humour.

Tous les animaux de la forêt parlent du temps où rôdait la renarde. Heureusement, voici bien longtemps qu’elle n’a pas été vue. Pourtant, quand le commissaire Gordon est appelé pour un vol de noisettes, il suspecte à nouveau l’animal tant redouté. Pour démasquer la voleuse, il aura bien besoin de Paddy, la petite souris au flair particulièrement aiguisé…

Depuis qu’il a fait innocenter un meurtrier récidiviste, Maître Jean Monier (Daniel Auteuil) ne prend plus de dossiers criminels. La rencontre avec Nicolas Milik (Grégory Gadebois), père de famille accusé du meurtre de sa femme, le touche et fait vaciller ses certitudes. Convaincu de l’innocence de son client, il est prêt à tout pour lui faire gagner son procès aux assises, retrouvant ainsi le sens de sa vocation.

La famille Badri a fui Beyrouth, devenue irrespirable, pour vivre isolée dans les montagnes. Lorsque le gouvernement fait construire une décharge devant leur maison, les tensions se multiplient. En écho aux récentes explosions et à la crise des déchets dans la capitale, la jeune réalisatrice libanaise Mounia Akl a réussi une allégorie sublime de l’engagement politique et de la décadence d’un monde corrompu.

Le jeune Zé est chaman. À 17 ans, il conjugue son rôle spirituel et son parcours de lycéen. Lorsqu’il rencontre Maralaa, il découvre l’amour et les émois de l’adolescence. Grâce à l’alchimie de ses personnages et aux décors contrastés d’Oulan-Bator, la jeune réalisatrice Lkhagvadulam Purev-Ochir explore avec finesse la condition des nouvelles générations mongoles, tiraillées entre tradition, modernité et quête d’avenir.

Delia, vit à Rome dans la seconde moitié des années 40. La ville est alors partagée entre l’espoir né de la Libération et les difficultés matérielles engendrées par la guerre. Face à son mari autoritaire et violent, Delia ne trouve du réconfort qu’auprès de son amie Marisa avec qui elle partage des moments de légèreté et des confidences intimes. . Mais l’arrivée d’une lettre mystérieuse va tout bouleverser et pousser Delia à trouver le courage d’imaginer un avenir meilleur, et pas seulement pour elle-même.

Les élèves de sixième année de l’école primaire Jose Urbina Lopez sont considérés comme les élèves les moins performants du Mexique, leur monde est marqué par la violence, la négligence et la corruption. Dans la classe, la dureté et la discipline règnent. Mais le nouvel enseignant Sergio emprunte une autre voie pour aider les élèves à sortir de l’impasse de l’absence de perspectives. Mais son programme d’enseignement n’est guère accepté.