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SERVETTE MON ENFANCE |
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Un documentaire de 90 minutes avec des émotions, des rires, des anecdotes, des souvenirs invraisemblables, une vraie belle histoire. La montée au stade c’est un souvenir d’enfance, certains avec leur père, d’autres avec des copains. Mon frère, je le voyais au match et c’était un de nos terrains d’entente. Mon premier souvenir, c’était la couleur verte fluo de la pelouse magnifiée par la lueur fluo des projecteurs. J’ai tellement adoré ce premier match que de ma vie je n’ai jamais raté un match quand j’étais physiquement à Genève, et encore aujourd’hui. D’où cette passion pour le foot mais pour la couleur grenat tout particulièrement. Mon film ne parle pas de moi mais de ceux qui y ont vécu des expériences semblables. Et j’ai choisi des personnalités particulières bien connues des genevois. Le rêve de réaliser ce film remonte à plus de quinze ans, j’ai eu la chance d’interviewer avant leurs décès l’écrivain Georges Haldas, et Jean-Jacques Tilmann, le commentateur sportif bien connu des footeux. Ces témoignages se sont révélés précieux et ont guidé le style des interviews que j’ai réalisé par la suite sous forme de longues discussions ou les protagonistes finissent par oublier qu’ils sont filmés. J’ai rencontré une trentaine de genevois les plus représentatifs de ce coin de pays : Laurent Deshusses, Jean-Luc Bideau, Nicolas Burgi, Massimo Lorenzi, Claude Bonard historien, Simon Meier journaliste, François Werz (fan depuis 1952), mais aussi les joueurs de l’époque Raymond Maffiolo, Jacky Barlie, Michel Desbiolles, Gilbert Guyot, Serge Trinchero, Lucio Bizzini, Franco Marchi, Marc Schnyder, Joko Pfister, Didi Andrey, Jean-Pierre Weber, Pierre Dutoit, Gérard et Gilbert Castella, Franco Marchi Serge Trinchero, puis aussi des antagonistes lausannois : Michel Zendali le journaliste bien connu des téléspectateurs, Gabet Chapuisat , Erich Burgener qui fut le grand gardien qu’on connaît mais surtout à Lausanne avant de rejoindre les grenats.
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LA PETITE VADROUILLE
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Justine, son mari et toute leur bande d’amis trouvent une solution pour résoudre leurs problèmes d’argent : organiser une fausse croisière romantique pour Franck, un gros investisseur, qui cherche à séduire une femme.
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PARA NO OLVIDAR |
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Suite au décès de son père, Laura découvre des films Super 8 et des cassettes audio de sa famille, réalisés sur plusieurs décennies. À travers ces précieuses archives, elle entreprend la construction d’une nouvelle histoire familiale. PARA NO OLVIDAR (Pour ne pas oublier) est un hommage poétique à José Gabay, évoquant la mémoire de l’émigration après le coup d’état de 1973 en Uruguay. Un premier film intime, où la cinéaste questionne les ambiguïtés du déracinement et la préservation des liens familiaux malgré la distance géographique.
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exclusivité suisse!ZUCCHERO SUGAR FORNACIARI |
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Plongez dans la vie de cet artiste légendaire de blues! Zucchero ! Retracer tout le chemin de son enfance jusqu’à ses succès sur scène! De nombreux témoignages et des archives privées sur sa vie rythme ce film pleines d’émotions.
Des images exclusives de ses archives privées et de sa tournée mondiale triomphale, ainsi que des témoignages d’amis tels que Bono, Sting, Andrea Bocelli, Francesco Guccini et bien d’autres, façonnent le récit de l’un des plus grands bluesmen de tous les temps : Zucchero. Son histoire révèle les émotions d’un enfant déraciné, sa ténacité pour atteindre un succès international, sa force pour affronter des années de dépression et finalement réussir à retourner à ses racines. Un voyage de l’âme qui va au-delà du portrait d’un musicien à succès, plongeant dans les doutes et les vulnérabilités d’un homme qui, incapable de combattre le diable en lui, a choisi de s’amuser avec. |
LE DEUXIÈME ACTE |
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Florence veut présenter David, l’homme dont elle est follement amoureuse, à son père Guillaume. Mais David n’est pas attiré par Florence et souhaite s’en débarrasser en la jetant dans les bras de son ami Willy. Les quatre personnages se retrouvent dans un restaurant au milieu de nulle part.
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