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Programmation
LE GRAND MÉCHANT RENARD & AUTRES CONTES |
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Ceux qui pensent que la campagne est un lieu calme et paisible se trompent, on y trouve des animaux particulièrement agités, un Renard qui se prend pour une Poule, un Lapin qui fait la Cigogne et un Canard qui veut remplacer le Père Noël. Si vous voulez prendre des vacances, passez votre chemin… |
TÉHÉRAN TABOU
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Téhéran : une société schizophrène dans laquelle le sexe, la corruption et la prostitution coexistent avec les interdits religieux. Dans cette métropole grouillante, trois femmes de caractère et un jeune musicien tentent de s’émanciper en brisant les tabous. |
ULTIMOS DIAS EN LA HABANA |
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Diego et Miguel vivent dans un appartement délabré dans un immeuble qui l’est tout autant dans le centre de La Havane. Diego est cloué au lit par son SIDA et rêve de vivre. Miguel lave la vaisselle dans un restaurant privé de la capitale et rêve de fuir aux Etats-Unis. Diego libère toute l’énergie qui lui reste dans la parole et affirme haut et fort son homosexualité alors que Miguel semble n’avoir plus aucun désir et se mure dans le silence. Dissemblables au possible, une amitié profonde, secrète, les lie pourtant et Miguel soigne, nourrit Diego, essayant de satisfaire ses moindres désirs. Le réalisateur cubain Fernando Pérez est un incorrigible optimiste. Il suffit de se pencher sur son oeuvre pour s’en persuader. Et ce n’est pas Últimos días en La Habana qui pourrait nous faire changer d’avis. Pourtant La Havane qu’il nous dépeint n’a rien d’un paradis sur terre. On n’y siffle plus depuis longtemps. Une crise économique qui n’en finit pas, au contraire, quand le principal et dernier soutien, le Venezuela, est confronté lui-même à d’énormes difficultés économiques et politiques. A cela s’ajoute une profonde crise morale à Cuba où la corruption s’étend après avoir été longtemps contenue. Alors, où va-t-il donc chercher son optimisme ce cher Fernando? Eh bien, tout simplement dans les vieux immeubles décrépis de la ville où s’entasse une population hétéroclite et bigarrée, où une solidarité certaine survit malgré toutes les difficultés quotidiennes. Documentariste à ses débuts, Fernando Pérez possède un réel talent pour portraiturer ses personnages et leur donner une humanité qui suscite adhésion et émotion. L’amour et l’empathie du réalisateur pour sa ville et ses compatriotes éclatent à chaque instant. C’est ce qui rend ses films inoubliables. Celui-ci aussi. |
L’INTELLIGENCE DES ARBRES |
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Un forestier en Allemagne, Peter Wohlleben, a observé que les arbres de sa région communiquent les uns avec les autres en s’occupant avec amour de leur progéniture, de leurs anciens et des arbres voisins quand ils sont malades. Il a écrit le bestseller “La Vie Secrète des Arbres” (vendu à plus d’1 million d’exemplaires) qui a émerveillé les amoureux de la nature. Ses affirmations ont été confirmées par des scientifiques à l’Université du “British Columbia” au Canada. Ce documentaire montre le travail minutieux et passionnant des scientifiques, nécessaire à la compréhension des interactions entre les arbres ainsi que les conséquences de cette découverte. |
ANNA KARENINA (VRONSKY’S STORY) |
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Un hôpital de campagne, en 1904, en Mandchourie, en pleine guerre russo-japonaise. On amène un officier blessé au médecin commandant l’unité sanitaire, Sergueï Karénine. Celui-ci reconnaît le colonel Vronski qui fut l’amant de sa mère, Anna Karénine. Lorsque son malade est ranimé, Sergueï ne peut s’empêcher de lui demander des explications sur la mort de sa mère. Vronski raconte l’éclosion d’une passion amoureuse que rien ne pouvait empêcher, puis son étiolement inéluctable dans un monde qui les avait mis au ban. Tolstoï avait entrepris de décrire la société russe de son temps. Il développait aussi une réflexion sur la morale et la religion. Il ne recherchait pas les effets de style, mais s’attachait à décrire les situations de la façon la plus réaliste possible. Son récit s’appuyait en fait sur le traitement de plusieurs couples antinomiques. Karen Shakhnazarov s’est, lui, concentré sur la passion de Karénine et Vronski. Il a ainsi épuré sa mise en scène et, procédant par sauts dans le temps, a pu observer avec soin l’évolution de la relation entre les deux amants, et particulièrement les changements dans l’attitude de la jeune femme, se laissant aller à sa passion, mais se sachant en même temps coupable d’infidélité vis-à-vis de son mari. «Anna Karénine – L’histoire de Vronski» est ainsi une superbe étude de caractères placés dans une société figée et décadente. |